Qui ne connait pas la difficulté des chiffres romains quand on est déjà habitué à voir les chiffres 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 0. On a toujours du mal à déchiffrer les lettres I, V, X, L, C, D, M pour faire nos calculs mathématiques, on passe même quelques minutes pour savoir que XVI signifie 16, etc…
Utilisations des chiffres romains
En fait, les chiffres romains sont notamment utilisés pour les numérotations des chapitres d’un livre quel qu’il soit, ou encore pour écrire les siècles comme par exemple XIXème siècle, ou aussi pour compléter les noms des Souverains ou les noms des Rois comme Le Roi Louis XIV, etc… Il est à noter que ces chiffres romains sont également vus dans les années du calendrier républicain comme par exemple Les soldats de l’An II. Ces chiffres peuvent aussi apparaître dans l’écriture des arrondissements parisiens, marseillais, et Lyonnais comme l’exemple du XVème arrondissement. Mais si on le remarque également, on peut surtout les utiliser pour l’écriture des divisions importantes d’une œuvre comme celle des œuvres bibliques où l’on écrit Mathieu I, 4 qui se lit Mathieu Chapitre I, verset 4.
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Difficile ou pas ?
Dans le cas général, on peut constater que seuls les romains et les grecs sont les plus doués sur ces chiffres romains étant donné que c’est leur écriture d’origine et que les autres origines ont du mal à les saisir quelquefois. C’est normal car lettres et chiffres ont toujours été considérés comme deux choses différentes, maintenant qu’on nous apprend à connaître que le V signifie 5, le L signifiant 50, le C signifiant Cent, le X signifiant 10, le M signifiant Mille, etc… C’est vrai que la difficulté qui se pose sur les chiffres romains repose toujours sur leur écriture mais non pas sur leur lecture car sinon on n’aurait pas inventé la fameuse expression « Il VeXe Le Commun Des Mortels », cette expression montre les sept lettres de l’alphabet des chiffres romains pour ceux qui ne l’ont jamais su.