Le détecteur de radar interdit en France


En plein excès de vitesse, être alerter par son détecteur de radar dès qu’il y a des radars, c’est bien impossible pour les conducteurs européens. En France et dans toute l’Europe, l’utilisation du détecteur de radar est passible de peines et d’amendes.

Qu’en dit la loi sur le détecteur de radar ?

À l’exception de certains pays (Albanie, Andorre, Belgique, Autriche Danemark, Espagne, Royaume Unie) et des bases militaires, posséder et exploiter les détecteurs de radar et les équipements de détection de radar sont illégaux. Cette illégalité est pourtant contournée par la plupart des créateurs de radars. La police utilise un dispositif appelé le Spectre RDD (détecteur de détecteur de radar), qui est capable de flairer les 95% de tous les détecteurs de radar.

Le détecteur de Radar fonctionne vraiment ?

N’importe quel détecteur de radar vendu aujourd’hui détectera un radar, mais les deux choses les plus importantes à prendre en compte à part sa capacité à filtrer les fausses alertes et son aire de répartition globale, c’est lorsque la voiture est équipée de capteurs anticollision. Ce dispositif qui fonctionne sur la même bande fréquence « Ku » du radar de police. Les policiers utilisent des radars de faible puissance pour éviter de se faire détecter par n’importe qui. C’est un appareil qui fonctionne avec des piles. Il existe des applications de détection de radar qui fonctionne avec n’importe quel iPhone ou Smartphone. Quelques malins couplent le détecteur avec un avertisseur. L’avertisseur, appelé aussi « outil d’aide à la conduite », c’est un dispositif qui utilise  des données des positions GPS et une base de données des positions des radars pour détecter un radar ou les zones de dangers. Seul cet outil est légal et exploitable par le grand public à condition qu’il soit mis à jour. Les appareils GPS avec la fonction POI sont pourtant autorisés