Quelle est la recette pour une bonne photo d’urbex ?


La photographie mettant en avant l’exploration urbaine est devenue un art à part entier dans le domaine des photos. Cette nouvelle catégorie n’est cependant pas un secteur facile à maîtriser. Il existe quelques ingrédients de base pour proposer une belle recette de photo d’urbex.

L’ustensile de base : le cadre urbain

Pour un urbexeur, le cadre de travail de base est le monde urbain. Bien que la campagne puisse proposer des lieux abandonnés, ou des infrastructures délaissées, les prendre en photo ne permet pas de les définir dans cette catégorisation photographique. Pour être dans cette dernière, il faudra immortaliser des infrastructures urbaines en ruine et rien d’autre.

L’ingrédient de base : la zone à explorer

Trouver des zones laissées-pour-compte n’est pas chose aisée. Il faudra beaucoup de patience de la part de l’urbexeur avant de trouver le cadre idéal pour ses photos. Pour trouver les lieux les plus utilisés par ces photographes, il faudra passer par les plateformes officielles. Elles peuvent donner des aides précieuses qui pourront aider à réussir la meilleure photo possible.

Le secret d’une bonne recette: la discrétion

Une bonne photo d’urbex ressemble à de la magie, le secret ne doit jamais être divulgué. Les adresses qui servent de cadre sont par conséquent des secrets qui doivent être jalousement gardés. Ce sont des adresses qui se passent d’urbexeur à urbexeur. Elles représentent par conséquent des éléments de confiance pour tout le collectif des amateurs de ce type de photos.

Quelques ingrédients à ne pas négliger : la sécurité

Tout d’abord, il est important de souligner qu’un urbexeur ne doit pas vandaliser les lieux qu’il visite. D’ailleurs, le but de ce type de photographie est l’exploration de la ville et non la modification du cadre. De plus, il est important de noter que détruire les biens d’autrui, quel que soit leur état, est passible d’une poursuite en justice. Ensuite, il faudra faire attention à sa propre sécurité. Sur certains sites, le plus grand danger est la présence des chiens errant. Il faudra s’assurer que ces lieux ne sont pas gardés. Dans le cas contraire, il faudra savoir négocier avec le gardien pour ne pas avoir de problème.

La petite touche finale : le masque d’un urbexeur

La petite touche est le masque pour un urbexeur. Si jamais il devait se mettre dans la photo, il est important pour lui de posséder cet accessoire. C’est un signe de reconnaissance que tous les amateurs de ce genre de photos doivent avoir. Il définit cette communauté qui est intransigeante concernant ce code vestimentaire précis.